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2 juin 2012 6 02 /06 /juin /2012 11:10

Les habitants de la 5ème circonscriptions ont voté au premier tour des présidentielles à 28,14 % pour Sarkozy et 24,72 % pour le Front national.

Le total des voix de Gauche sur cette circonscription est de 38,22 % (11,56 pour Jean-Luc Mélenchon et 22,61 pour François Hollande + EELV).

 

Le 10 juin : ne pas à répondre à l'injonction du vote « utile ».

Seul le Front de Gauche défendra une augmentation significative du SMIC, la planification écologique (avec une sortie du nucléaire programmée, une règle verte plutôt qu'une règle d'or, une agriculture paysanne), des services publics partout et pour tous, le pouvoir au peuple et pas à la finance, un référendum sur la traité Merkel-Sarkozy... (Voir le programme de la candidate)

Sur la cinquième circonscription, le seul vote utile : le Front de Gauche au premier tour.

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2 juin 2012 6 02 /06 /juin /2012 10:49

Les habitants de la 3ème circonscriptions ont voté au premier tour des présidentielles à 31,5 % pour le Front National.

Le total des voix de Gauche sur cette circonscription est de 32,4 % (10,5 pour Jean-Luc Mélenchon et 19,10 pour François Hollande + EELV) alors que Sarkozy avait obtenu 27,65%.

Alors les militants de Gauche pensent que cette circonscription aurait été gagnable avec une union des forces de gauche contre le blanc bonnet/Bonnet blanc Le Pen/Ferrand.

 

Aussi, le 10 juin, pour les électeurs de Gauche, la seule solution est le vote Front de Gauche. Le Candidat Roger Martin est un écrivain et un homme politique implanté sur cette circonscription depuis 20 ans. Il a enseigné à des générations de jeunes comtadins. Il a mené un combat acharné contre le front national.

 

Alors, amis de Gauche, sur la troisième circonscription n'éparpillons pas nos voix : votons pour le Front de Gauche dès le premier tour.

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2 juin 2012 6 02 /06 /juin /2012 00:15

tractpaysage

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1 juin 2012 5 01 /06 /juin /2012 18:04
L’édito

 

La Commission européenne a donc envoyé en catimini ses fonctionnaires à Paris pour émettre hier des exigences quant à l'évolution économique et sociale de la France. Cette procédure relève de la scandaleuse disposition du semestre européen adoptée par toutes les forces politiques du parlement français à l'exclusion des députés et sénateurs au Front de Gauche, et qui consiste à contrôler les projets de budget des états avant même que les parlements nationaux aient eu à les voter.
Comme prévisible, la Commission a rabâché ses crédos libéraux : réformes structurelles sous peine de sanctions, allègement de la fiscalité sur le travail, plus de concurrence dans le commerce de détail, les services, les industries de réseau comme l'électricité et le transports ferroviaire, trop de protection légale des contrats de travail, et nécessité que les licenciements économiques puissent aussi être autorisés pour améliorer la rentabilité des entreprises, trop de réglementation en général. En résumé, ce que réclame la Commission, c'est la privatisation d'EDF et de la SNCF, l'ouverture des commerces 7 jours sur 7 et à toute heure, la casse du droit du travail et jeter les salariés au chômage pour que les actionnaires se remplissent un peu plus les poches.
Mais, comme la Commission en veut toujours plus, elle exige aussi que l'évolution des dépenses publiques soit inférieure au taux de croissance du PIB, qui étant actuellement de 0,2 % alors que l'inflation est attendue à 2,2 % pour 2012, signifierait donc une baisse des dépenses de 2 %. Ajoutées à la réclamation de la baisse des dépenses sociales et celles des collectivités locales, ce sont les mêmes recettes imposées dans toute l'Europe, et qui mènent à la récession, que veut imposer la Commission européenne à la France.
Si nous ne voulons pas subir une telle politique de régression, il n'y a qu'une solution : envoyer beaucoup de députés du Front de Gauche à l'Assemblée nationale qui sauront tenir tête à tous ceux qui accepteront de se soumettre aux diktats de la troïka européenne, à commencer par le nouveau gouvernement socialiste dont on n'a pas entendu beaucoup de rejet des prétentions libérales ainsi exprimées.

Martine Billard,
co-présidente du Parti de Gauche

 


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30 mai 2012 3 30 /05 /mai /2012 07:29

2012 06 01 Maims brunes sur la ville CARPENTRAS

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28 mai 2012 1 28 /05 /mai /2012 00:07

2012-05-23-reunion-aubignan-1

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26 mai 2012 6 26 /05 /mai /2012 00:27

Jean-Luc Mélenchon, candidat du Front de Gauche (FG) à l'élection présidentielle française a organisé un meeting à Paris lundi dernier avec Alexis Tsipras, dirigeant de la Coalition de la Gauche radicale (SYRIZA) en Grèce.

La tâche de Mélenchon était de servir d'intermédiaire politique pour Tsipras et le président français nouvellement élu François Hollande, du Parti socialiste (PS.) Au deuxième tour de l'élection présidentielle, Mélenchon, un ancien ministre PS, avait soutenu Hollande qui avait fait campagne en prônant des coupes budgétaires combinées à « un volet croissance » de subventions financières ciblées en faveur de banques et d'industries clés.

 

 

Mais comme cela apparaît clairement, à lire la couverture médiatique concernant le tour d'Europe de Tsipras, SYRIZA se fonde sur une perspective similaire à celle de Hollande. SYRIZA est arrivé en deuxième place à l'élection législative du 6 mai en Grèce, qui n'a pas réussi à produire un gouvernement et est actuellement premier dans les sondages pour l'élection du 17 juin. SYRIZA a envoyé Tsipras rencontrer Mélenchon et les représentants de du Parti de Gauche à Berlin, pour donner des garanties que ses critiques des mesures d'austérité actuelles en Grèce ne représentent nullement une menace pour le capitalisme européen. (Voir: La pseudo-gauche démasquée en Grèce)

Le PS a refusé de rencontrer Tsipras en personne, apparemment parce qu'il n'est pas encore chef d'Etat. Au lieu de cela, la tâche de parler directement à Tsipras a été confiée à Mélenchon et au Front de Gauche, qui ont organisé une intervention de Tsipras à laquelle ont assisté quelques centaines de membres du Front de gauche, devant le bâtiment de l'Assemblée nationale, dans un des quartiers les plus riches de Paris.

A Berlin, Tsipras a fait l'éloge de la défaite par Hollande de l'ancien président Nicolas Sarkozy qui travaillait en étroite collaboration avec la chancelière allemande Angela Merkel à concevoir une politique d'austérité en Europe.

Tsipras a dit, «Bien sûr que nous avons de grands espoirs et attentes concernant cette rupture de l'axe franco-allemand qui a suivi la défaite de Nicolas Sarkozy à l'élection présidentielle. »

«Les questions formulées par la gauche il y a longtemps sont maintenant discutées au niveau du G8, tels les euro-bonds et les prêts directs de la Banque centrale européenne. »

Tsipras recherche l'aide de Paris pour essayer de modifier les renflouements imposés à la Grèce par l'Union européenne (UE). Mais très vite il apparaît clairement qu'une telle politique implique au plus des changements cosmétiques aux mesures d'austérité qui ont dévasté la classe ouvrière grecque.

Tsipras a dit à Reuters : «Nous voulons que les gouvernements de c France et d'Allemagne voient ce que nous représentons: ce qui se dit de nous en Europe ne correspond pas à ce que nous sommes et ce que voulons. » Il a appelé à des « réformes à long terme » pour rendre viables les renflouements imposés à la Grèce par l'Union européenne (UE), de façon à ce que la Grèce « soit capable de rembourser l'argent qu'on nous a donné. » Il a aussi cité, comme étant son modèle, les coupes sociales du gouvernement Obama aux Etats-Unis en disant: «Nous devons faire pression sur Merkel pour qu'elle suive l'exemple des Etats-Unis. »

 

D'autres représentants de SYRIZA qui ont parlé avec les médias français ont fait des commentaires similaires. La député e SYRIZA, Sofia Sokarafa a dit à Médiapart: «Nous voulons des réformes, nous voulons que le pays soit plus compétitif, lfÉtat plus fonctionnel, qufil y ait de la méritocratie. »

Ce qui n'a cependant pas été mentionné est le fait que des plans visant à donner un coup de pouce à la compétitivité, fondés sur le remboursement des banques et copiant la restructuration de l'industrie automobile américaine, telle qu'elle a été entreprise par le gouvernement Obama, impliqueraient une diminution brutale du niveau de vie des travailleurs.

Mélenchon a néanmoins soutenu avec enthousiasme la visite de Tsipras. Parlant de Tsipras, Mélenchon a dit: «Nous ne sommes pas identiques mais nous sommes comparables. »

Mélenchon a aussi utilisé la visite de Tsipras comme l'occasion de prendre une posture de « gauche » totalement factice. Il a critiqué le PS pour avoir refusé de rencontrer Tsipras lors de sa visite à Paris, pour avoir organisé « l'ostracisation » de Tsipras. Il a demandé de façon absurde au PS, important parti du patronat français, de rencontrer Tsipras au nom de la «solidarité internationaliste... Au moins la solidarité à gauche devrait prévaloir. »

 

 

En fait la politique de Mélenchon est en accord avec certaines sections du capital financier, y compris à Paris et Wall Street, qui préfèrent une politique « d'assouplissement monétaire quantitatif », où la Banque centrale européenne ferait fonctionner la planche à billets pour renflouer les banques durant toute crise financière. C'est la politique soutenue par Hollande peu après son élection, et son gouvernement a indiqué ses projets de coupes budgétaires après les élections législatives de juin prochain. (Voir France: Le président élu laisse entrevoir des coupes budgétaires et des cadeaux aux banques)

 

 

 

Dans une interview accordée à Libération, Mélenchon a dit qu'il donnerait le conseil suivant à Tsipras: «Je sais comment je mfy prendrais... Il faut obtenir la capitulation de la Banque centrale européenne. Qufelle prête directement à lfEtat grec. Je serais Alexis, je serre cette tenaille-là !»

Mais cette politique, identifiée en Europe comme étant de « gauche », ainsi que l'a fait remarquer Tsipras, n'a rien à voir avec une quelconque solidarité avec les travailleurs grecs. Une politique inflationniste consistant à faire tourner à volonté la planche à billets pour rembourser les banques est tout simplement une recette pour diminuer le pouvoir d'achat des travailleurs tout en augmentant les inégalités sociales, en donnant des sommes gigantesques aux banques privées qui sont responsables de la crise économique. En effet , la politique plus inflationniste poursuivie par le gouvernement Obama a provoqué une catastrophe sociale pour la classe ouvrière américaine.

Malgré son soutien aux bombardements de la Libye par l'OTAN et aux menaces militaires envers la Syrie, Mélenchon aime exprimer une certaine indépendance patriotique de la France par rapport aux Etats-Unis, mais son protégé grec mine quelque peu cette pose. Le New York Times cite Tsipras: « Le message que nous transmettons au G8 est que nous devons faire pression sur Mme Merkel pour qu'elle suive l'exemple de l'Amérique, où on ne s'est pas attaqué à la crise de la dette par des mesures d'austérité mais par une approche expansionniste. »

 

(Article original publié le 25 mai 2012)

 

 

 

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25 mai 2012 5 25 /05 /mai /2012 22:46

Selon les médias qui distillent l'idéologie dominante, le score du Front national à l'élection présidentielle aurait été un événement. Il est évidemment bien trop haut. Mais il est d'abord bâti sur le mensonge. Avec mes amis du Front de Gauche, nous travaillons à tomber le masque de la candidate du système.
Commençons par rendre à Marine Le Pen son vrai nom. Marion Anne Perrine Le Pen est bien l'héritière millionnaire du manoir de Montretout, à Saint-Cloud. Membre de la très grande bourgeoisie, sous ses aspects «populaires», elle est une servante zélée du système. Alors qu'elle prétend le combattre. 
Sa dernière trouvaille, pour faire oublier ce qu'elle est, consiste dans le jeu du coucou, cet oiseau qui s'approprie le nid des autres. Je prendrai quelques exemples.

Marion Anne Perrine Le Pen veut faire croire qu'elle est contre le libéralisme et qu'elle défend les ouvriers :

  • le Front national est contre les 35 heures ;
  • le Front national défend les fonds de pension contre la retraite à 60 ans que, seule, permet la retraite par répartition ;
  • le Front national est contre la retraite à 60 ans ; il défend la retraite à la carte et accepte la retraite à 62 ans ! Pendant le mouvement social de 2010 contre la réforme des retraites, elle traitait les manifestants d’«émeutier"
  • le Front national propose une augmentation de 200 euros pour les salaires inférieur à 1,4 fois le SMIC. Mais cette fausse augmentation est financée par l'Etat au travers de l'impôt. De cette manière, les entreprises n'ont rien à sortir de leur proche. Les salariés financent leur propre augmentation au travers de l'impôt ;
  • Le Front national propose de faire la chasse à la fraude dite «sociale» mais jamais à la fraude fiscale pratiquée par les plus riches et les patrons voyous.

Marion Anne Perrine Le Pen veut faire croire qu'elle est pour une démocratie apaisée :

  • le Front national divise les Français : entre ceux qui seraient blancs «nés ici» et les immigrés. Le socle de son discours et de ses propositions demeure le concept de «préférence nationale», qu’il se propose «d’inscrire dans le préam¬bule de la constitution».
  • le Front national ment en faisant croire que les immigrés coûteraient à la France. Or, les ressortissants étrangers vivant dans notre pays rapportent chaque année un solde positif de 12 milliards d'euros en impôts et cotisations sociales. La population immigrée est donc une chance pour aider au paiement de nos retraites.
  • Le Front national dit que les immigrés «volent le travail des Français». Or, la présence des étrangers en France crée de la richesse et donc de l'emploi, grâce à l'apport de consommation, d'impôts et de cotisations. Les étrangers sont aussi consommateurs, ils créent une demande supplémentaire et des emplois.
  • le Front national est contre le vote des immigrés qui vivent ici depuis des années, paient leurs impôts, acquittent leurs cotisations sociales, contribuent à la vie de nos quartiers ;

Marine Le Pen parle désormais de la France, des travailleurs, de social. En vérité, elle n’aime ni le monde du travail, ni la solidarité, ni la liberté.
C’est une millionnaire qui ne propose rien contre le pouvoir de la finance et des riches.
Ne vous laissez pas berner. Seul le Front de Gauche propose d’en finir avec les politiques libérales et d’austérité.
Seul le Front de Gauche défend des propositions qui amélioreront la condition des travailleurs.

Gabriel Amard

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25 mai 2012 5 25 /05 /mai /2012 22:29

La communauté urbaine Marseille Provence Métropole a gardé l'information secrète jusqu'aux limites du droit pour éviter toute riposte d'Unilever : elle préempte la vente du site Fralib de Gémenos pour lequel le groupe -qui n'en est pas officiellement propriétaire -a déposé « une déclaration d'aliéner » et obtenu en conséquence du juge du tribunal de grande instance de Marseille qu'il ordonne l'expulsion des 103 salariés qui occupent l'usine.

« Nous entendons bloquer la vente et obliger Unilever à s'asseoir à la table des négociations pour donner une chance au projet alternatif des Fralib », explique Eugène Caselli, président (PS) de MPM. Le prix proposé est inférieur de 1 million d'euros à l'évaluation des Domaines (4,240 millions d'euros contre 5,3 estimé), ce qui obligera le vendeur à céder le site à perte, ou à déposer un recours au TGI ou au Tribunal Administratif selon la procédure choisie.

« Cela laisse tout le temps nécessaire pour créer le conditions de dialogue qu'Unilever refuse aux salariés depuis 600 jours en s'en remettant systématiquement au tribunal pour faire valider sa décision de fermeture », poursuit Eugène Caselli.

L'opération a été menée en toute transparence avec les ministères du Travail et du Redressement Productif. « Nous avons le devoir de tout faire pour maintenir un haut niveau d'emploi industriel sur ce site à forte valeur ajoutée fiscale pour nos finances publiques. La préemption créée une situation nouvelle qui doit permettre à l'Etat de montrer que la désindustrialisation de notre pays n'est pas une fatalité ».

Article Les échos

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25 mai 2012 5 25 /05 /mai /2012 19:24

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